15 septembre —
En 2008, un projet de loi destiné à poser la question des pratiques artistiques amateurs et du statut de leurs acteurs dénués de contrat de travail avait indigné la fédération de sonneurs BAS ainsi que les responsables du Puy-du-Fou en Vendée pour des raisons mal expliquées mais qui tiennent au fait que ces associations reposent sur le bénévolat.
Alors que les élus entendent rédiger un nouveau texte traitant des pratiques artistiques amateurs et de leur rémunération, André Queffélec, président de Sonerion, et Charles Quimbert, directeur de Bretagne Culture Diversité, veulent « faire valoir le point de vue du monde culturel associatif breton « (article de Jean-Laurent Bras dans Ouest-France). Mais quel est-il ? Et que désigne le « monde culturel associatif breton » sinon un lobby hostile à une réglementation plus équitable ?